La suppression de la semaine de quatre jours dans les écoles maternelles et primaires, si elle intervient dès cette rentrée scolaire, se fera pour des raisons politiques. Uniquement politiques.
La première, ce sont les résultats scolaires des élèves. Si l'on se réfère aux évaluations de CE1 et CM2, et ce depuis la rentrée 2008, date de l'instauration de la semaine des quatre jours, le travail et les notes ont baissé. De beaucoup parfois, surtout chez les enfants déjà en grande(s) difficulté(s). Le problème des enfants d'immigrés, ayant des difficultés à maîtriser le français, accroît la baisse du niveau des CE1 et CM2.
La deuxième, c'est la qualité de l'enseignement. La réduction d'une demi-journée de cours par semaine, a provoqué des emplois du temps également chargés pour les professeurs des écoles. L'objectif de terminer impérativement le programme à la fin de l'année, a diminué la qualité de la pédagogie et de l'enseignement.
Et ce malgré une plus longue et fatigante préparation de cours à la maison. "La vie de l'équipe éducative à l'école, s'est souvent réduite au repas de midi quand les professeurs décident de manger ensemble". Pour les parents, la gestion des heures de soutien après l'école et la récupération des enfants, compliquent la sortie des bureaux et perturbent la vie professionnelle.
La troisième et sans doute la plus importante pour le gouvernement, la dégringolade de la France au sein du classement des pays de l'OCDE (Organisation de coopération et de développement économiques). Et les chiffres sont éloquents. La France mauvaise élève en matière d'encadrement, de redoublement, en matière de niveau scolaire…
L'école française est même injuste selon l'OCDE. La semaine des quatre jours a eu pour effet de révéler un peu plus, cet aspect de notre système éducatif.
La première, ce sont les résultats scolaires des élèves. Si l'on se réfère aux évaluations de CE1 et CM2, et ce depuis la rentrée 2008, date de l'instauration de la semaine des quatre jours, le travail et les notes ont baissé. De beaucoup parfois, surtout chez les enfants déjà en grande(s) difficulté(s). Le problème des enfants d'immigrés, ayant des difficultés à maîtriser le français, accroît la baisse du niveau des CE1 et CM2.
La deuxième, c'est la qualité de l'enseignement. La réduction d'une demi-journée de cours par semaine, a provoqué des emplois du temps également chargés pour les professeurs des écoles. L'objectif de terminer impérativement le programme à la fin de l'année, a diminué la qualité de la pédagogie et de l'enseignement.
Et ce malgré une plus longue et fatigante préparation de cours à la maison. "La vie de l'équipe éducative à l'école, s'est souvent réduite au repas de midi quand les professeurs décident de manger ensemble". Pour les parents, la gestion des heures de soutien après l'école et la récupération des enfants, compliquent la sortie des bureaux et perturbent la vie professionnelle.
La troisième et sans doute la plus importante pour le gouvernement, la dégringolade de la France au sein du classement des pays de l'OCDE (Organisation de coopération et de développement économiques). Et les chiffres sont éloquents. La France mauvaise élève en matière d'encadrement, de redoublement, en matière de niveau scolaire…
L'école française est même injuste selon l'OCDE. La semaine des quatre jours a eu pour effet de révéler un peu plus, cet aspect de notre système éducatif.
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